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Nos apprenants témoignent : Virginie, Kiné

Virginie vous partage son expérience et son évolution professionnelle en tant que Kinésithérapeute !
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Retranscription du podcast :

Moi c’est Virginie, je suis kinésithérapeute depuis 2019. J’ai pas mal fait de remplacements la première année. Ensuite, j’ai beaucoup bougé. Je suis allée dans les DOM-TOM, pas mal de régions en France également.  Actuellement je viens de remonter. J’étais dans le sud de la France en assistanat puis j’ai trouvé un autre assistanat dans le nord. Oui, je bouge beaucoup. 

J’ai une patientèle hyper variée. Dans mes remplacements, j’ai pu rencontrer des patients de cultures différentes et avec des pathologies vraiment variées. Je fais autant de cabinet que de domicile. Pour moi c’est important d’être là pour les patients qui ne peuvent pas se déplacer. 

Du coup j’ai une activité qui se scinde en deux parties, mais pour moi c’est la même chose. J’ai mon petit sac et je ramène pleins de petits matériels pour travailler à domicile avec les patients. Etant donné que j’ai une prise en charge assez active, je mets vraiment les patients au centre de leur santé et ils font tout ce qu’ils peuvent pour aller mieux !

Retranscription du podcast :

A noter : Certains programmes DPC, appelés communément “programmes intégrés” peuvent réunir à la fois une action de formation continue et une action d’évaluation des pratiques professionnelles. Résultat : vous pouvez valider votre obligation triennale en un seul programme. Intéressant pour gagner du temps, non ?

Quelles sont vos spécialités ?

Depuis 2019, j’ai effectué 1 an de remplacement par-ci par là. Je n’ai donc pas fait de formation. Ensuite en 2020, j’ai fait 1 an de formation en kinésithérapie du sport. Donc essentiellement très actif, très sportif. Pourtant je n’ai pas une patientèle de sportifs mais je considère que chaque personne est un minimum sportive à son niveau. Par exemple pour la personne âgée, son sport ça va être de monter ses marches d’escalier. 

Ensuite j’ai fait une formation en thérapie viscérale, pour tout ce qui est intestins, tous les problèmes de stress…plutôt internes.

Se former : obligation ou volonté ?

Pour moi, c’est vraiment une volonté. Je pense que c’est nécessaire de se former continuellement. Pour des rappels, mais aussi pour suivre l’avancée médicale, pour se tenir au goût du jour. Il y a tellement de progression et d’évolution qu’il faut quand même rester à la page. 

C’est aussi une motivation pour moi de me former. Personnellement, j’adore apprendre. Donc ce n’est pas du tout une obligation. Cela permet aussi aux patients d’avoir de meilleurs soins. Parce que quand on est volontaire et qu’on a envie d’aider le patient, il le ressent et forcément il va aussi se mettre actif dans sa santé. C’est le principal. 

Je choisis mes formations pour avoir certains rappels, ou alors pour combler des manques. 

L’année dernière j’avais fait une formation sur le périnée et franchement je ne m’y connaissais pas du tout. J’ai trouvé cette formation géniale car j’ai appris pas mal de choses. 

J’aime bien rester au goût du jour et surtout me rappeler aussi, parce que quand on part dans une rééducation, on oublie parfois la base. On est tellement fixé sur un point que le retour à la base c’est essentiel aussi.

Quel est votre retour d'expérience sur nos formations ?

Chez ERON, j’ai suivi une formation sur la rééducation de la main, sur l’appareil locomoteur…j’ai vu le périnée aussi et cette année j’ai fait la douleur

Pour ce qui est de la main c’était vraiment en sortie d’école à peu près. Ça m’a permis d’augmenter mon apprentissage parce que ça reste un domaine assez spécifique et très précis. Du coup je voulais connaître les moins détails. Au niveau de la main, je fais tous mes exercices en fonction de la formation. J’ai quelques tips, des exercices précis dont je me suis souvenue. 

Périnée ça a été vraiment une découverte puisque j’ai même envisagé, pas cette année mais peut-être l’année prochaine ou dans deux ans, de faire une formation plus poussée, en présentiel pour la rééducation périnéale. Dans tous mes exercices actifs je dis aux patients d’y penser, d’y faire attention. Pendant tout le renforcement musculaire aussi je leur montre l’importance du périnée. Ça m’a permis de mettre en pratique des exercices que j’ai pu voir dans la formation. 

Formation : Rééducation périnéale

Votre recommandation : Rééducation périnéale

J’ai préféré cette formation car j’ai vraiment eu un gain d’apprentissage. Les autres, c’était plus du rappel ou de l’approfondissement. Les bases je les avais déjà. Celle-ci m’a vraiment ouvert les yeux sur son importance, sur les exercices à mettre en place. Elle était plus concrète que les autres. 

Je me suis dis pourquoi pas faire une formation par la suite en uro alors que je ne voulais pas du tout de base. Je ne voulais pas faire ce genre de formation et en fait cela m’a ouvert l’esprit là-dessus. Donc j’ai adoré !

J’adore apprendre, alors ça m’a donné envie d’aller encore plus loin, pousser un peu plus la chose. Ce que j’ai apprécié aussi c’est que ce n’était pas monotone. Sur certaines formations, l’audio est un peu plat donc il faut rester concentré. 

Alors qu’ici, j’ai adoré de A à Z. J’écrivais, je prenais des notes…Il y avait une bonne partie théorique, pas trop monotone, assez dynamique. Et ensuite il y avait toute la partie exercices où du coup on pouvait déjà penser à les mettre en place le lendemain. J’ai trouvé ça génial !

Pourquoi choisir le e-learning ?

Ce qui est bien avec le e-learning, c’est que c’est rapide, c’est simple. Chez ERON je connais le système donc c’est peut-être par confort que je reste et puis aussi je suis vraiment pas déçue à chaque fois. Donc pourquoi partir ? 

Le e-learning c’est simple, c’est en fonction de nos disponibilités. On le fait quand on peut, quand on veut, quand on a la motivation aussi. Puis, j’ai eu aussi des problèmes avec des dates où je n’étais pas disponible pour les formations, et le service client a été hyper rapide pour me répondre. On a pu décaler d’un mois ma formation. Franchement je suis chez ERON, alors pourquoi partir ? 

Un conseil pour vos confrères ?

Il faut choisir des formations dans lesquelles ils n’ont aucunes connaissances. C’est beaucoup plus attrayant et attractif de connaître de nouvelles choses et cela pousse à l’ouverture d’esprit. 

Je préfère être performante dans un peu tout que de me fixer sur une seule pathologie. Ça peut-être rébarbatif après. 

En kiné on a la chance d’avoir des possibilités énormes. Si un jour j’ai envie de me spécialiser sur une pathologie, je peux très bien le faire, mais pour le moment ce n’est pas le cas. Je préfère avoir quelque chose de global. 

Donc il faut foncer, sans se poser de questions !

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